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La phraséodidactique en action : les expressions figées comme objet d’enseignement
par Mª Isabel Gonzalez Rey,
publié le 24/03/2010
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La phraséodidactique cherche sa place dans la didactique des langues vivantes en misant sur l'enseignement des expressions figées en tant qu'éléments incontournables du discours.
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Les jeux de mots dans la presse française et leur traduction en espagnol
par Maryse Privat,
publié le 18/03/2010
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Les jeux de langage sont fréquents au sein du discours journalistique et particulièrement dans les titres d'articles de quotidiens comme Libération, où l'imagination semble être au pouvoir. Ces jeux linguistiques reposent sur des expressions et des constructions syntaxiques figées. Le problème est double pour un lecteur non francophone entrant en contact avec cette facette de la culture de l'autre. Le premier obstacle est la reconnaissance et la compréhension du jeu de mots, et le second serait une traduction du jeu de mots dans sa langue. Le français et l'espagnol sont deux langues proches mais la recherche de la conservation de l'originalité à tout prix peut faire long feu et s'avère souvent décevante.
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Les faux-amis en français et en espagnol. Changement de sens et polysémie
par Mari Carmen Jorge,
publié le 18/03/2010
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Quand on compare les langues il faut avoir recours à une reconstruction sémantique : on cherche les choses et les notions qui correspondent aux unités linguistiques.
Si on part d'une analyse en diachronie on peut trouver des mots qui se sont conservés dans une langue avec une valeur différente de celle qu'ils avaient dans la langue d'origine. Ainsi le terme abbé (dont l'origine signifiait « père ») a en français la valeur de « chef d'une communauté religieuse ».
Il est possible que deux langues différentes utilisent un même terme issu d'une autre langue, mais chacun dans un sens différent ; c'est le cas de quitter et quitar. Il peut arriver aussi que, pour un terme polysémique, une valeur coïncide avec celle qu'il a dans l'autre langue ; ce serait le cas de tirer et tirar. On parle dans ces cas de faux-amis.
Dans certains cas, les faux-amis n'ont aucun rapport étymologique. Ainsi on est arrivé à sol (« suelo ») et sol (« soleil »), entre autres, à partir d'origines différentes.